mercredi 20 novembre 2013

Microsoft Vancouver devient Black Tusk !


Cet été, nous vous faisions part d'une vague de licenciements chez Microsoft Vancouver, studio en charge par le passé du développement de la série Flight Simulator, et souhaitant recentrer ses activités sur la conception de jeux AAA principalement. Etape suivante suite à cette nouvelle direction, Microsoft Vancouver devient Black Tusk Studios, comme le laisse transparaître le nouvel habillage du site officiel du studio. Un changement qui s'accompagne également d'une bonne nouvelle, puisque le studio rechercherait par ailleurs des développeurs pour travailler sur "la prochaine franchise à succès de Microsoft". Selon plusieurs rumeurs, la société plancherait en effet sur le développement d'un jeu de tir utilisant Kinect. Affaire à suivre !

lundi 18 novembre 2013

Ubisoft se lance dans la Performance Capture


Technologie de pointe utilisée en masse au cinéma, la Performance Capture est en train d'envahir le jeu vidéo. Après Sony et Microsoft, c'est au tour d'Ubisoft d'investir dans cette nouvelle technique de capture de mouvements. L'éditeur français a carrément ouvert un studio spécifique à Toronto, afin de répondre aux besoins de leur nouveaux jeux. On apprend ainsi que le studio, d'une supericie de 2 000 m², abrite 80 caméras de capture de mouvements Vicon T160, des caméras-casques sans fil pour une capture faciale précise qui sera synchronisée en temps réel avec la capture vocale et corporelle, mais aussi une scène spéciale conçue spécialement pour une capture de son de la meilleure qualité possible. Il y a également des structures permettant de réaliser des cascades. Evidemment, les prochains jeux d'Ubisoft pourront bénéficier de cette avancée technologique. On a hâte de voir le résultat !

 

 

Ubisoft Toronto

 

Ubisoft Toronto

 

Ubisoft Toronto

 

Ubisoft Toronto

 

Ubisoft Toronto


vendredi 15 novembre 2013

ESWC 2012 Les coulisses

Organiser une compétition aussi gigantesque que peut l'être l'ESWC (Electronic Sports World Cup), c'est beaucoup de travail et beaucoup de matériel. Découvrez donc les coulisses de cet évènement actuellement diffusé sur jeuxvideo.com présentées par un de ses organisateurs !

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jeudi 14 novembre 2013

Metal Gear Rising Revengeance du gameplay et des images


Konami organisait jeudi dernier un évènement presse à Los Angeles. L'éditeur nippon a d'ailleurs profité de la manifestion pour dévoiler de nouvelles images et deux trailers de gameplay inédits de Metal Gear Rising Revengeance. Si la première vidéo, opposant Raiden à un terrible robot baptisé Mafutisu, reste malgré tout sympathique à regarder, la seconde s'avère bien plus intéressante puisqu'elle met en scène l'un des futurs boss du titre qui n'est autre que le célèbre Metal Gear Ray. L'occasion de découvrir les différents mouvements de Raiden et de s'imprégner du gameplay tranchant du spin-off, dont la sortie est pévue pour le 21 février prochain.




mercredi 13 novembre 2013

Football Manager 2013 s'incruste sur iOS et Android


Déjà disponible sur PC et sur PSP, Football Manager 2013 devrait arriver d'ici quelques heures voire quelques jours sur les plateformes de téléchargement Apple et Android. En effet, le titre sera disponible dès ce soir au Royaume-Uni et notre version cocorico ne serait tarder. De nouveaux championnats et de nouveaux joueurs ont été intégrés à cette version 2013, tout comme la possibilité de nommer un capitaine de faire monter des joueurs de la réserve. Aucun prix n'a encore été annoncé, mais le jeu devrait être vendu autour de 10€.


mardi 12 novembre 2013

Test Paper Mario Sticker Star

Le Test
Descendant direct de l'improbable Super Mario RPG, développé à l'époque par Square pour le compte de Nintendo, Paper Mario Sticker Star est jalousement retenu dans le grand parc plein de moustaches de l'éditeur japonais. Prise en charge par Intelligent Systems depuis plus de 10 ans, la licence adopte un parti pris original, traitant l'univers de Mario avec une distance amusée, considérant même le toad le plus insignifiant comme un personnage à part entière. Une approche humoristique qui fonctionne très bien et qui mériterait d'être intégrée dans les Mario mainstream, dans lequel le bon enfant commence à devenir sérieusement inquiétant. Pour son retour vers le public,  Paper Mario décide de consolider ses relations avec quelques tonnes d'autocollants dans un Paper Mario Sticker Star qui risque en revanche de ne pas scotcher tout le monde. Pourquoi donc ? Réponse dans notre test.
Il faudra parfois remplacer certains éléments pour progresserVieux troll devant l'éternel et devant ses armées de goombas, Bowser ne peut s'empêcher de gâcher les rares moments de quiétude où Mario pourrait enfin tenter un rapprochement avec la Princesse Peach. C'est encore le cas cette fois-ci, avec la dispersion de stickers magiques suite à un accident pas vraiment malencontreux. Ces derniers, en possession de sbires de l'affreux, leur confèrent des pouvoirs bien supérieurs à ceux de leur semblable. Il faudra donc, dans les chaussures de rando de Mario, récupérer l'ensemble de ces autocollants venus de l'espace (sic) afin de ramener un certain équilibre dans le monde merveilleux des champignons qui parlent. Une thématique patchwork qui s'insère jusque dans le gameplay, entièrement centré sur la collection et l'utilisation de stickers. Plus ou moins bien cachés dans les renfoncements de décor aux multiples passages secrets utilisant l'effet de profondeur, les autocollants peuvent également être acheté chez le marchand du coin moyennant une somme relativement élevée de pièces. Indispensables dans les combats où ils font office de commandes, il peuvent aussi servir d'éléments d'interaction avec l'environnement via le principe de la "papiérisation". Dans un français correct, cela signifie qu'il est possible d'appliquer un des motifs de votre collection sur le décor afin de remplacer un morceau manquant ou de rajouter une porte, un obstacle, qui vous ouvriront l'accès à des endroits auparavant bloqués. Un système original et qui pousse à l'expérimentation, donnant lieu à quelques énigmes très bien senties qui appellent le joueur à chercher dans les possibilités qui lui sont offertes. Et non dans une simple histoire de copier-coller évidente. Et dans le cas où la résolution serait limpide, les pièces nécessaires sont la plupart du temps dissimulées avec talent au creux d'un level-design inventif et multi-couches. Sans atteindre l'ingéniosité de la rotation 2D/3D de Super Paper Mario, Paper Mario Sticker Star trouve une nouvelle manière de manipuler son monde, en tirant parti intelligemment des fonctionnalités tactiles, notamment dans le mouvement de fixation d'un sticker. Une entrée en matière au concept fort qui se décroche pourtant par étapes comme un post-it en fin de vie dès que le "jeu" pur entre en scène.

Let's Stick Together
Le magasin sera une étape indispensable à l'aventureGuerre ouverte contre Bowser oblige, ses troupes sur le terrain cherchent en priorité à casser la progression du plombier moustachu. Les affrontements sont donc la manière la plus sûre de régler ce différend et c'est là que  Paper Mario Sticker Star montre son flanc à la cruelle lance d'un défaut majeur, celui du manque de rythme. Les combats en eux-même sont intéressants, reprenant une bonne partie des acquis RPG du premier épisode et de sa suite. Ils impliquent donc non seulement de déclencher une attaque définie à chaque tour mais aussi d'appuyer cette dernière en pressant sur le bouton correspondant avec le bon timing. Une implication dans l'action constante, qui donne une pèche unique aux duels de Paper Mario Sticker Star. D'autant plus que chaque sticker a sa particularité. Il est d'ailleurs possible d'enchaîner plusieurs assauts d'affilée en jouant à une sorte de machine à sous avant chaque rixe, qui peut débloquer jusqu'à trois attaques successives en cas d'alignement d'un trio de figures identiques. Plus le joueur mise d'argent, et plus les roues tournent lentement. Un pousse-au-crime qui peut également être repoussé en cas de grande confiance en soi ou d'une envie de corser l'expérience. Un principe qui ne vous permettra en revanche pas d'économiser les précieux autocollants, disparaissant de la réserve une fois utilisés. Et même si l'album évolue au fil du jeu avec l'ajout régulier de pages où disposer les stickers, il n'est pas rare de devoir partir faire le tour d'un niveau pour fouiller et en dénicher quelques uns une fois à cours d'attaques.

Une implication dans l'action constante, qui donne une pèche unique aux duels de Paper Mario Sticker Star"

La boule de feu est une arme de destruction massiveUne limitation un peu pénible, qui pousse à éviter des combats qui de toute façon ne rapportent que des pièces d'or et aucun XP. Mario n'évoluant que via la découverte de coeurs spéciaux qui lui ajoutent des points de santé, à la Zelda. Une simplification qui donne une grande efficacité à  Paper Mario Sticker Star, doublée d'un côté user-friendly qui en fait un RPG-découverte haut de gamme. Une définition qui colle aussi à sa dimension plateforme, les phases de sauts se réduisant au strict minimum en terme de prise de risque. Une épure qui n'est prise en défaut que par l'ennui qui résulte de cette absence du moindre pic de difficulté, longue ligne droite, bordée d'arbres magnifiques, mais désespérément plane. Les oscillations viennent ici de la direction artistique axée collage parfois limite surréaliste, juxtaposée à un univers mille-feuilles coloré, et d'une écriture de grande qualité, laissant de grandes latitudes à un humour décalé et juste. Avec Paper Mario Sticker Star, Intelligent Systems a fait le choix de l'évidence plus que celui de l'évolution. Il en reste un jeu agréable, fin et attachant qui malgré tout sera oublié aussitôt terminé par son manque de houle dans un voyage tellement organisé qu'il ne donne plus de place à la surprise. Décidément une habitude chez le moustachu.


lundi 11 novembre 2013

Muramasa The Demon Blade prend la pose sur PS Vita


Marvelous Entertainment vient tout juste d'ouvrir un site officiel dédié au portage de Muramasa The Demon Blade sur PS Vita, ce qui explique pourquoi des nouvelles images du jeu font leur apparition sur la Toile. Pour ceux qui l'auraient déjà oublié, on rappelle que le titre verra son contenu étoffé par rapport à la version originelle sorti sur Wii, notamment avec la présence d'un DLC disponible dès la sortie du jeu (28 mars 2013 au Japon), qui permettra de faire connaissance avec quatre personnages et histoires supplémentaires.

Muramasa : The Demon Blade
Muramasa : The Demon Blade

dimanche 10 novembre 2013

Muramasa s'illustre sur Vita

On le sait déjà, l'excellentissime Muramasa fera des infidélités à la Wii prochainement en s'offrant un portage sur PS Vita. Connu pour ses tableaux enchanteurs et ses graphismes magnifiques, celui-ci ne devrait visiblement rien perdre de sa superbe lors du voyage, comme semblent nous l'indiquer la vidéo et les quelques images présentées ci-dessous.

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Muramasa s'illustre sur VitaMuramasa s'illustre sur VitaMuramasa s'illustre sur VitaMuramasa s'illustre sur Vita
  • Muramasa : The Demon Blade Vita
  • mardi 5 novembre 2013

    Gears of War Judgment perd son directeur cratif

    People Can Fly, le studio de développement polonais à l'origine du gros défouloir qu'est Bulletstorm, et actuellement à pied d'oeuvre sur le prochain Gears of War, sous-titré Judgment, vient de perdre trois membres d'importance. En effet, Mike Capps, le président d'Epic Games, vient d'annoncer le départ d'Adrian Chmielarz, directeur créatif du jeu, ainsi que celui de deux autres membres de l'équipe, Andrzej Poznanski et Michal Kosieradzki. Ceci dit, l'ancien directeur créatif rassure les fans sur son compte Twitter, en précisant que le développement du jeu est entre de bonnes mains, et que les fans aimeront ce fameux Gears of War : Judgment. Ouf, nous voilà donc rassurés.

  • Gears of War Judgment 360